Mindo,
- Catherine
- 15 févr. 2018
- 2 min de lecture

En visitant la "Mitad del Mundo", nous apprenons que le bus qui passe par là va jusqu'à Mindo. Comme nous en avions entendu parler à plusieurs reprises, nous décidons d'aller y jeter un petit coup d'oeil. 2 heures de bus pour arriver dans les hauteur du village qui lui, se trouve tout au fond d'une vallée très encaissée. Heureusement un minibus attendait des clients et nous y embarquons pour nous rendre au village.
C'est le carnaval, mardi gras. Le village est plein d'un tas de gens, équatoriens et touristes. Les Equatoriens, comme à chaque carnaval, se battent à coup de bombes de mousse et de ballons ou de seaux plein d'eau. De plus, le ciel est très chargé et la pluie menace.
Nous trouvons finalement un petit hôtel - auberge familiale assez agréable mais extrêmement bruyante au coeur du village. La dame qui nous reçoit nous indique ce qu'il y a à faire à Mindo :
Tour à 6 h du matin pour aller voir les oiseaux : nous revenons d'Amazonie où nous en avons vu énormément.
Rafting ou descente d'une rivière en bouée : il pleut, il ne fait pas très chaud et puis... nous avons passé l'âge.
Genre de téléphérique dans une sorte de cage en métal : très peu pour moi avec mon vertige
VTT ou randonnée (sous la pluie) : pas vraiment tentés.
Ferme aux papillons : vu que c'est la seule chose qui nous tente un peu, nous y allons.
Les papillons étaient nettement moins beaux que ceux que nous avons vu en Amazonie mais il y avait aussi de très nombreux et magnifiques colibris.

Résultat de l'expédition à Mindo : un peu (beaucoup) déçus par ce village très soixantehuitards attardés où l'odeur de la "marie" se sent à tous les coins de rues (sales)....et où la nourriture est chère et assez indigeste.
Seule surprise amusante, nous avons rencontré une toulousaine (plus très jeune), un peu hippie qui tient une boutique-bar-café (photo ci-dessous).

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